Comment les taux d’imposition sur le revenu passif sont calculés

Établir des flux de revenus passifs est une sage décision, en particulier pour la planification de la retraite. Également parfois appelé « argent de boîte aux lettres », le revenu passif est gagné sans effort physique. Il peut provenir d'investissements sur des plateformes comme Yieldstreet qui génèrent des intérêts, des dividendes, des plus-values ou des revenus locatifs.

Les revenus passifs comprennent des fonds tels que les paiements de loyer, les dividendes d’investissement ou les bénéfices provenant d’investissements plus appréciés. En revanche, les revenus actifs proviennent des honoraires, des salaires ou des traitements liés au travail. Les impôts sur les deux types de revenus varient en fonction de la tranche d'imposition du bénéficiaire et de la classification de ses revenus.

Les principales sources de revenus passifs comprennent les intérêts auto-facturés, les revenus locatifs et les investissements commerciaux. Les intérêts auto-facturés résultent du prêt d’une personne à sa propre entreprise, et les revenus locatifs sont passifs à moins qu’ils ne soient gérés activement par un professionnel de l’immobilier. Les revenus de placements d'entreprise sont passifs si le séquestre n'est pas impliqué dans les opérations.

Les impôts sur le revenu passif diffèrent pour les plus-values à long terme et les dividendes qualifiés. Les gains à court terme sont imposés aux taux de revenu ordinaires, tandis que les gains à long terme et les dividendes qualifiés sont imposés à 0 %, 15 % ou 20 %, en fonction du revenu imposable annuel et du statut de déclaration. Les revenus des obligations municipales sont généralement exonérés d'impôt au niveau fédéral, mais peuvent donner lieu à des impôts au niveau de l'État.